Offres d'emploi

Voir | Soumettre

Demandes d'emploi

Voir | Soumettre
09/10 | Insuffisance cardiaque en médecine interne : place de l’échographie cardiaque dans la pratique
09/10 | Enquête de pratiques des bilans de polyglobulies et de thrombocytose
08/10 | Registre TATA

Registre national TATA pour des thérapies ciblées ayant une AMM pour une autre indication chez des patients atteints d’une maladie auto-immune réfractaire aux approches conventionnelles. Prochaine visio le 12/10/2023 du 17h30 à 19h consacrée au syndrome de Sjögren

Cliquez ici pour en savoir plus

Cardiopathies attribuées à l’hydroxychloroquine – Appel à observations

Synopsis

Contact : Dr Etienne Crickx, service de médecine interne, hôpital Henri Mondor, APHP, Créteil, mail : etienne.crickx@aphp.fr
 

Mis à jour le 2 octobre 2023

12/09 | Etude sur la thromboprophylaxie en milieu médical

Cette étude est menée en collaboration avec le SFMV, la SFMP, le réseau INNOVTE, la Société d’hémostase et le laboratoire SANOFI

 

Cliquez ici pour répondre au questionnaire

Sémiologie Clinique, le livre indispensable pour les étudiants !

Identité

  • Titre : Docteur
  • Civilité : M
  • Nom : VIGNES
  • Prénom : Stéphane
  • Date de naissance : 27/04/1966
  • Nationalité : France

Informations professionnelles

  • Organisme : Hôpital Cognacq Jay
  • Service : Unité de Lymphologie
  • Fonction : PH

Adresse personnelle

  • Ligne 1 : 23, rue Labrouste
  • Ligne 2 :
  • Ligne 3 :
  • Code postal : 75015
  • Ville : PARIS
  • Pays : France
  • Tel privé :
  • Tel portable :
  • Email :

Adresse professionnelle

  • Ligne 1 : 15, Rue Eugène Millon
  • Ligne 2 :
  • Ligne 3 :
  • Code postal : 75015
  • Ville : PARIS
  • Pays : FRANCE
  • Tel standard : 01 45 30 81 00
  • Tel direct :
  • Fax : 01 45 30 81 34
  • Email : stephane.vignes@cognacq-jay.fr

Adresse de réception du courrier

Vous recevrez votre courrier à votre adresse professionnelle

Newsletters

  • Inscrit à la newsletter

Candidature

  • Type d'adhésion :
  • 1er parrain :
  • 2ème parrain :

Thèse présentée

  • Date : 1996
  • Faculté : Pitié-Salpétrière
  • Sujet :

Un homme âgé de 55 ans, d’origine marocaine, se présentait aux urgences en janvier 2022, pour un tableau de douleurs abdominales. Il n’avait pas d’antécédents personnels et ne prenait pas de traitement au long cours. Il était artisan et travaillait le bois. Depuis 48h, le patient présentait des douleurs abdominales intenses, diffuses, associées à une asthénie et des urines foncées survenues après un repas inhabituel. A l’examen clinique, le patient était ictérique, sans fièvre. L’abdomen était douloureux, sans défense ou contracture et il n’y avait pas d’organomégalie. Le bilan biologique retrouvait une hémoglobine à 5,8 g/dL, avec un VGM à 113 fL et des réticulocytes à 232 G/L. Les globules blancs étaient à 37 G/L dont 27 G/L de polynucléaires neutrophiles. Les plaquettes étaient à 157 G/L. Le bilan hépatique retrouvait une bilirubinémie totale à 133 µmol/L dont 8 µmol/L de conjuguée. Les LDH étaient supérieures à 2500 UI/L et l’haptoglobine effondrée. La créatininémie était à 147 µmol/L. Vous demandez un frottis sanguin (fig.1) qui retrouve des anomalies qui vont vous orienter dans votre démarche diagnostique.

 

 

Vous devez répondre à toutes les questions.

Une patiente âgée de 35 ans est adressée en consultation pour des lésions indurées, hyperpigmentées et non prurigineuses sur l’ensemble du corps. Ces lésions touchent les bras, le dos, les cuisses, et évoluent depuis plusieurs années. La patiente a pour antécédents un nodule thyroïdien sous surveillance simple, un phénomène de Raynaud, des migraines sans aura, un reflux gastro-œsophagien pour lequel une manométrie œsophagienne ne retrouvait pas d’anomalie du péristaltisme et un épisode de gastrite à Helicobacter pylori. La patiente travaille comme gestionnaire d’une équipe de ménage, elle a 2 enfants en bonne santé. Le reste de son examen clinique est normal. Son traitement se compose d’un triptan et d’un inhibiteur de la pompe à proton. Le bilan biologique est normal, sans syndrome inflammatoire, la fonction rénale est normale. Il n’y a pas de terrain dysimmunitaire sous-jacent, l’électrophorèse des protéines sériques est normale, les anticorps anti-nucléaires et les anti-antigènes nucléaires solubles sont négatifs.

Vous devez répondre à toutes les questions.

Vous recevez en consultation un homme âgé de 57 ans, gardien d’immeuble, sans antécédent notable hormis une fracture vertébrale en T12 suite à une chute traumatique il y a quelques années. Il vous explique qu’il présente des lésions cutanées ayant débuté initialement sur le dos, avec une extension lentement progressive sur plusieurs années, prédominant au tronc et aux cuisses, puis en distalité aux membres inférieurs. Il décrit une aggravation des lésions lorsqu’il prend des douches chaudes. Il s’agit de lésions maculeuses pigmentées, érythémateuses voire brunâtres, qui confluent à certains endroits. La friction des lésions induit une turgescence et un prurit localement. Il existe des épisodes de prurit intense survenant environ toutes les semaines, bien soulagés par la prise d’antihistaminiques. Il est gêné sur le plan esthétique. Par ailleurs, il présente des épisodes intermittents de diarrhée liquidienne. Il n’existe pas d’autre symptôme ni d’altération de l’état général. Il a réalisé dernièrement une ostéodensitométrie qui retrouve une ostéopénie au niveau du col fémoral et de la région lombaire.

Vous devez répondre à toutes les questions.

Une femme, âgée de 50 ans, était adressée en consultation pour des lésions cutanées au niveau du visage depuis deux mois. Cette patiente avait pour principaux antécédents trois grossesses sans complications et une hystérectomie et annexectomie sur kyste bénin. Cette patiente faisait régulièrement des maquillages permanents aux niveaux des sourcils et des lèvres. Elle présentait depuis deux mois des lésions érythémato-papulo-nodulaires des sourcils et de la lèvre supérieure sur ses tatouages. L’application d’un dermocorticoïde n’avait pas eu d’efficacité. Le reste de l’examen cutané retrouvait un aspect épaissi de la cicatrice d’hystérectomie par cœlioscopie d’apparition concomitante aux lésions du visage. On notait la présence d’une toux sèche avec une auscultation pulmonaire normale. Le reste de l’examen clinique était sans particularité. L’hémogramme et le phénotypage lymphocytaire sanguin étaient normaux. La natrémie était à 143 mmol/L, la kaliémie à 4,1 mmol/L, la calcémie corrigée à 2,47 mmol/L, la créatininémie à 63,5 µmol/L. Le bilan hépatique était normal, et la protéine C réactive à 2 mg/L.

Vous devez répondre à toutes les questions.